Réplique en argent sterling de la Bouche de la Vérité

Reproduction en argent 925 de "La bouche de la vérité" : ancien masque en marbre pavonazzetto, encastré dans le mur du pronaos de l'église de Santa Maria in Cosmedin à Rome, depuis 1632. Bien que personne ne sache exactement quand et pourquoi la frise a été créée, il existe un certain nombre de théories. Datant du 1er siècle de notre ère, la Bouche de la Vérité est un grand disque de pierre sculpté dans un visage humanoïde avec des trous creux pour les yeux et une bouche béante. L'objectif initial de ce grand médaillon a été théorisé comme étant à la fois un couvercle de puits cérémoniel, un élément de décoration de fontaine ou un couvercle de regard d'égout. Le visage lui-même a été dit représenter un dieu païen, mais le débat fait rage, les érudits devinant tout et n'importe quoi, du dieu de la forêt Faunus au dieu de la mer Océanus, en passant par un dieu fluvial local. Bien que l'origine du disque soit sujette à débat, la légende qui entoure cette sculpture en pierre est que si l'on mettait la main dans la bouche du disque et que l'on mentait, la gueule rocheuse mordrait la main fautive. Cette croyance semble avoir pris naissance au Moyen-Âge, lorsque le disque était censé être utilisé lors des procès, l'accusé mettant sa main dans la fente et s'il s'avérait qu'il mentait, un homme caché avec une hache coupait l'appendice. Bien que cette utilisation semble apocryphe, la superstition persiste à ce jour. La Bouche de la Vérité, qui repose aujourd'hui devant les portes de la Basilique Santa Maria in Cosmedin, a été utilisée comme un détecteur de mensonges fantaisiste dans un certain nombre de films et de jeux vidéo, le plus célèbre étant le film d'amour Vacances romaines de 1953, dans lequel la sculpture était un élément majeur de l'intrigue.